Il y a longtemps, les crieurs de journaux animaient les rues de nos villes en hurlant les titres de la dernière édition. Ce travail était pénible et ingrat, car très mal payé. Mais il constituait une intéressante occupation pour de nombreux jeunes gens à la recherche d'un petit revenu.
En 1935, il arriva pourtant une étrange aventure aux crieurs du journal Le Temps. L'automne était pourri et il ne faisait que pleuvoir tous les jours. Les crieurs, toujours en plein air eurent tôt fait de s'enrhumer et de tomber malades. Lorsque la moitié de l'effectif fut absente, le directeur du journal décida d'équiper les crieurs restants d'un scaphandre pour les mettre à l'abri des intempéries.
L'idée était bonne et plus aucun ne tomba malade. Mais les ventes chutèrent dramatiquement, car les crieurs s'égosillaient dans leur casque et les passants ne comprenaient pas un traître mot de ce qu'ils disaient. Après un mois d'utilisation des scaphandres, Le Temps fit faillite à cause du mauvais temps. Le saviez-vous?
En 1935, il arriva pourtant une étrange aventure aux crieurs du journal Le Temps. L'automne était pourri et il ne faisait que pleuvoir tous les jours. Les crieurs, toujours en plein air eurent tôt fait de s'enrhumer et de tomber malades. Lorsque la moitié de l'effectif fut absente, le directeur du journal décida d'équiper les crieurs restants d'un scaphandre pour les mettre à l'abri des intempéries.
L'idée était bonne et plus aucun ne tomba malade. Mais les ventes chutèrent dramatiquement, car les crieurs s'égosillaient dans leur casque et les passants ne comprenaient pas un traître mot de ce qu'ils disaient. Après un mois d'utilisation des scaphandres, Le Temps fit faillite à cause du mauvais temps. Le saviez-vous?
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