Je viens de terminer la lecture de la BD Tue-moi à en crever, de David Lapham, publiée chez Delcourt en 2006.
Voilà une BD comme je les aime: longue (236 pages), en noir et blanc, basée sur un scénario qui tient la route. Je ne l'ai pas encore précisé, mais rien qu'à lire le titre, on se doute qu'il s'agit d'un polar. Les jambes qu'on voit sur la couverture sont celles d'Eve, pendue au ventilateur de son salon. Steven, son mari, se réfugie auprès de Tara, un amour de jeunesse retrouvé à la suite d'une curieuse coïncidence...
Steven ne mettra pas longtemps à s'apercevoir qu'il s'est mis dans un sacré guêpier, Mais, envers et contre tout, il voudra croire à la sincérité de Tara.
L'histoire est noire. Très noire. A la lecture de cette BD, je me suis remémoré l'atmosphère de The Long Good-Bye (Sur un air de navaja), de Raymond Chandler.
L'atmosphère seulement, car le scénario n'a rien à voir et les scènes violentes sont plus présentes. La longueur du bouquin permet de s'installer dans l'histoire. Lapham y a travaillé durant deux ans comme un fou et ça se voit. Le trait de son dessin colle parfaitement avec le sujet et le sujet ravira les amateurs de polars. Que demander de plus?
Steven ne mettra pas longtemps à s'apercevoir qu'il s'est mis dans un sacré guêpier, Mais, envers et contre tout, il voudra croire à la sincérité de Tara.
L'histoire est noire. Très noire. A la lecture de cette BD, je me suis remémoré l'atmosphère de The Long Good-Bye (Sur un air de navaja), de Raymond Chandler.
L'atmosphère seulement, car le scénario n'a rien à voir et les scènes violentes sont plus présentes. La longueur du bouquin permet de s'installer dans l'histoire. Lapham y a travaillé durant deux ans comme un fou et ça se voit. Le trait de son dessin colle parfaitement avec le sujet et le sujet ravira les amateurs de polars. Que demander de plus?
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