Au début de sa carrière, le peintre Vincent Piquelune n'avait pas beaucoup de succès auprès du public et surtout auprès des critiques. Ses toiles étaient qualifiées de croûtes, ce qui correspondait à la triste réalité. Mais, tant qu'à faire des croûtes, il se dit qu'il ferait bien mieux de se mettre à la peinture hyperréaliste et de représenter ... des croûtes.
Il recopia donc avec une extrême précision les détails des miches de pain de son boulanger préféré. Le succès fut immédiat et les amateurs d'art s'arrachèrent ses croûtes.
Mais maman a dit qu'il ne faut pas s'arracher les croûtes, car ça laisse des cicatrices.
7 commentaires:
Moi, j'adore les croûtes du Guyères.
Et donc les amis de mes amis sont mes amis.
Je t'aime, Vincent Piquelune!
je connaissais Victor Piquelune...mais pas Vincent Piquelune...
@ François: On pourrait casser la croûte ensemble...
@ Flep: Moi aussi, je connaissais Victor Piquelune. J'ai été surpris d'apprendre que ce peintre s'appelle Vincent Piquelune. ;-)
apres la croute terrestre... la croûte lunaire.... :-)
Oui, et sur la Lune, il n'y a que le premier pas qui croûte!
Il avait, entre–temps commencé une série sur les croûtes des genoux couronnés de sa fille Mélusine quand elle apprenait le patin à roulettes, malheureusement (pour lui), son épouse a très vite acheté des genouillères à leur enfant martyr et il a été obligé de changer de sujet...
z (il se dit qu'il avait une aventure avec la boulangère... je répêêêêêêêêêête : d'où son intérêt pour les miches...)
cette histoire de patin et de miche...me donne envie...
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