




En musardant sur le net, je suis tombé sur la vidéo d'un sketch de Jean Yanne que tous les anciens (hem) connaissent et que j'ai beaucoup aimé. J'ai d'ailleurs toujours beaucoup aimé Jean Yanne, que je mets sur le même piédestal que Michel Audiard pour la gouaille et Boby Lapointe pour la dérision. Voici comment il a passé son permis:La semaine passée, bravant grèves et manifestations, Iris et moi avons fait une escapade à Paris pour voir les deux expositions consacrées à Claude Monet, l'une au Grand Palais, l'autre au musée Marmottan Monet. Dire que c'était un enchantement n'est que l'embryon de la réalité. Il n'y a qu'une chose à dire: allez-y!
Nous avons aussi passé par la Fondation Henri Cartier-Bresson pour y voir les photos de Harry Callahan. La magie du noir et blanc après le tourbillon des couleurs!
Puis, enivré par toute cette création graphique, il m'a pris l'idée de faire quelques photos en noir et blanc avec mon petit Ixus 70. Voici quelques vues de Paris, forcément partielles et subjectives, mais inspirées par les photographes que j'aime (cliquez sur les images pour les agrandir):











Mais qu'ai-je donc fait au Bon Dieu pour avoir une chance pareille? J'ai sans doute assisté à l'un de mes plus beaux concerts. Cette femme est un extrait de concentré de quintessence de soul. Elle a une énergie qui fait passer James Brown pour un paralytique sous tranquillisants (j'exagère un peu...). Elle est superbement accompagnée par les Dap-Kings, le groupe maison de Daptone Records. Il dispense un son chaud et vigoureux rappelant évidemment celui des années 60. Tout ça dans un groove qui porte littéralement le spectacle vers les sommets.Youri Gagarine au milieu de ses admiratrices.
Dès ce moment, les mères soviétiques imaginèrent toutes que leur fils pouvait à son tour devenir une vedette adulée. Mais elles apprirent aussi par de nombreux reportages publiés dans la Pravda que les candidats cosmonautes devaient se soumettre à des épreuves extraordinairement difficiles pour faire partie du dernier carré. Le passage dans la centrifugeuse était en particulier déterminant.
La centrifugeuse de la Cité des Etoiles.
Lorsque Natalia Malenkova donna naissance à son fils Alexander, elle décida de mettre toutes les chances de son côté pour lui permettre de devenir cosmonaute. Elle bricola donc un berceau en forme de centrifugeuse dans lequel elle installa son fils.
Natalia Malenkova manipulant sa centrifugeuse domestique.
Toujours pas beaucoup de temps pour rédiger un article de Milsabor! Le week-end dernier, nous sommes allés en famille faire une excursion au glacier d'Aletsch, dans les Alpes Valaisannes. C'est le plus grand glacier des Alpes. Le problème, c'est qu'il fond à la vitesse grand V, comme la plupart de ses congénères de la planète. Ceux qui prétendent encore que le réchauffement, ce n'est que des balivernes feraient bien d'y faire aussi un tour.Mais, après quelques niveaux, les choses se compliquent avec des carrés blancs qui, eux, sont toujours "solides". Puis les choses se compliquent encore lorsque vous pouvez changer la couleur de vos carrés en passant dans une flaque de peinture. Puis le jeu devient franchement infernal avec la téléportation. Chaque nouvelle règle vous sera d'ailleurs indiquée au bas de la fenêtre sous forme de gentille suggestion (en anglais, certes, mais même un ignare comme moi comprend!). Mais je vous laisse jouer. Il suffit de passer le premier niveau pour comprendre et ne plus décrocher.
En tout, il y a 20 niveaux, ce qui devrait déjà bien vous occuper!